Covid ? Monkeypox ? Grippe ? Réchauffement ? Pénurie ?
Et les autres ?…
Afin de dédramatiser ces situations et prenant la plus saillante de toutes en exemple, l’artiste voudrait faire comprendre au public de cette exposition que plutôt de craindre une chose (quelle qu’elle soit) et tenter de s‘en défaire en la combattant ou en l’esquivant d’une manière ou d’une autre, il vaudrait bien mieux la regarder en face en l’observant telle qu’elle est réellement pour enfin pouvoir l’admirer jusqu’à ce qu’elle disparaisse…
Ou tout au moins qu’elle perde son emprise…
De même par ces temps troublés où tout nous pousse à nous monter les uns contre les autres plutôt que de regarder ensemble ce qui est entrain de réellement NOUS arriver, DeLaPerouze, en ajoutant à l’œuvre de base les articles de la déclaration universelle des droits humains, espère inciter les visiteurs à en prendre conscience et à en tirer leurs propres conclusions afin de ne pas recréer les conditions qui ont amené des femmes et
des hommes de bonne volonté à l’élaborer, au sortir de la seconde guerre mondiale.